11/09 : 10 ans de zones d'ombres!!
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j'aurais aimé réagir plus souvent sur ce "débat". Mais a chaque fois, trop de tensions, d'attaques.....
Il a souvent été dit, que ce "débat" était stérile. je trouve ça dommage, mais c'est cette tension, qui le rend ainsi.
je pense qu'on a le droit de douter, sans être attaqué en permanence.
on a le droit de douter, sans pour autant être traité de négationnistes. D'ailleurs ce terme m'horripile!
source wiki:
Le terme négationnisme désigne, dans sa signification première, la négation de la réalité du génocide pratiqué par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale contre les Juifs, c'est-à-dire la négation de la Shoah. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, notamment par la négation de l'existence des chambres à gaz d'extermination ou de la volonté d'extermination des Juifs d'Europe par les nazis, que la réalité de ces crimes relèverait de mythes. L'expression publique de ces propos est sanctionnée comme délit dans de nombreux pays
Par extension, le terme est régulièrement employé pour désigner la négation, la contestation ou la minimisation d'autres faits historiques, en particuliers ceux qu'on pourrait qualifier de crimes contre l'humanité. C'est le cas pour le refus de reconnaître le génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale, le massacre de Nankin par l'armée impériale japonaise, le génocide au Rwanda, les massacres pratiqués par les Khmers rouges au Cambodge et les génocides révolutionnaires ukrainiens. Bien que ces épisodes se soient déroulés dans des circonstances historiques variées et qu'ils aient été commis avec des moyens divers, on retrouve de nombreux traits communs dans leurs négations respectives.
La question se pose pourtant de définir une limite claire entre la notion de « contestation de crimes historiques » et celle de « négationnisme ». La démarche négationniste a ceci de particulier qu'elle use d'une méthodologie partiale et malhonnête, opérant la sélection, la dissimulation, le détournement ou la destruction d'informations corroborant l'existence du crime (voire la création de fausses preuves « impliquant » l'inexistence des évènements passés). On peut légitimement parler de négationnisme lorsque de telles méthodes sont employées, lorsque les motivations ne sont pas exclusivement la recherche de la factualité historique (motivation antisémite, partisane ; voir la partie motivations des négationnistes) et lorsque les faits contestés ont été indubitablement établis.
Il a souvent été dit, que ce "débat" était stérile. je trouve ça dommage, mais c'est cette tension, qui le rend ainsi.
je pense qu'on a le droit de douter, sans être attaqué en permanence.
on a le droit de douter, sans pour autant être traité de négationnistes. D'ailleurs ce terme m'horripile!
source wiki:
Le terme négationnisme désigne, dans sa signification première, la négation de la réalité du génocide pratiqué par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale contre les Juifs, c'est-à-dire la négation de la Shoah. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, notamment par la négation de l'existence des chambres à gaz d'extermination ou de la volonté d'extermination des Juifs d'Europe par les nazis, que la réalité de ces crimes relèverait de mythes. L'expression publique de ces propos est sanctionnée comme délit dans de nombreux pays
Par extension, le terme est régulièrement employé pour désigner la négation, la contestation ou la minimisation d'autres faits historiques, en particuliers ceux qu'on pourrait qualifier de crimes contre l'humanité. C'est le cas pour le refus de reconnaître le génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale, le massacre de Nankin par l'armée impériale japonaise, le génocide au Rwanda, les massacres pratiqués par les Khmers rouges au Cambodge et les génocides révolutionnaires ukrainiens. Bien que ces épisodes se soient déroulés dans des circonstances historiques variées et qu'ils aient été commis avec des moyens divers, on retrouve de nombreux traits communs dans leurs négations respectives.
La question se pose pourtant de définir une limite claire entre la notion de « contestation de crimes historiques » et celle de « négationnisme ». La démarche négationniste a ceci de particulier qu'elle use d'une méthodologie partiale et malhonnête, opérant la sélection, la dissimulation, le détournement ou la destruction d'informations corroborant l'existence du crime (voire la création de fausses preuves « impliquant » l'inexistence des évènements passés). On peut légitimement parler de négationnisme lorsque de telles méthodes sont employées, lorsque les motivations ne sont pas exclusivement la recherche de la factualité historique (motivation antisémite, partisane ; voir la partie motivations des négationnistes) et lorsque les faits contestés ont été indubitablement établis.
Dernière édition par duvel le Dimanche 18 Octobre 2009 15:11, édité 1 fois.
Lucifer son of the mourning, I'm gonna chase you out of earth!
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Je pense qu’essayer d’expliquer l’événement du 11 septembre en opposant la version officielle avec des faits pouvant contredire cette version ne nous amènera à rien. Car nous ne sauront jamais ce qui c’est exactement passé et qui sont les instigateurs de cet attentat. De plus, opposer des faits à d’autres faits n’a jamais été productif.
Par ce qui va suivre je tente d’expliquer pourquoi cet attentat qui a, par son importance, bouleversé l’ordre établi ne peux pas être l’œuvre d’un groupuscule terroriste comme Al Qaida.
Avant la deuxième guerre mondiale, dans un pays en paix ou non occupé par un envahisseur, on ne parlait pas de terrorisme. Le mot terrorisme était rarement voir jamais employé. On lui préférait l’expression « assassinat politiques ». A cette époque un attentat ou un assassinat perpétré par des mouvements anarchiques avait forcément une explication politique. Même si des fois il provoquait des conflits majeurs, comme l’assassinat de François Ferdinand à Sarajevo, il n’avait pas pour but d’engendrer la terreur auprès des populations. Les attentats des nihilistes ou des anarchistes visaient des personnalités de la sphère politique ou ayant participé à la répression contre la population ou leurs camarades. L'idée étant qu'une fois supprimés les acteurs de cette répression, celle-ci s'estomperait dû à la peur de représailles contre les acteurs de cette politique répressive. Ce terrorisme avait un caractère spontané, et une base sociale.
L’explication à cela est qu’avant la deuxième guerre mondiale, le monde n’était pas scindé en deux blocs antagonistes. Si la politique indépendante et souveraine des différents pays faisait la part belle à l’individualisme politique, le clivage entre deux régimes sociaux où le regroupement des différents pays a surpassé les simples alliances de confort d’autant pour engendrer une radicalisation des mouvements politiques. Même si pour certain, la démarcation entre ces deux mondes différents pouvait apparaître comme une assurance contre un nouveau conflit mondial, l’aggravation des contradictions, la dégradation constantes des relations internationale du à un changement de l’ordre social et à l’instabilité tant politique qu’économique notamment dans certains pays du tiers monde ont libéré un potentiel d’agressivité certes pas suffisant pour déclencher une guerre planétaire mais suffisamment important pour générer des conflits localisés. Les plus importants étant le conflit du Vietnam et celui du moyen orient.
Nous sommes dans les années 70 les russes et les américains ont compris, depuis la crise des missiles à Cuba, que le déclenchement d’une guerre les conduira inévitablement à un cataclysme planétaire. Ils entretiennent des relations exécrables sans jamais cesser de se combattre par l’intermédiaire d’état interposé. Nous sommes en pleine guerre du Vietnam qui si tôt fini se transportera en Angola. Dans ce délitement des relations internationales, le terrorisme devient un moyen d’action spectaculaire dans les pays non encore en conflit.
Les palestiniens en désaccord avec le roi Hussein de Jordanie détournent 4 avions et en font atterrir 3 sur une base aérienne en Jordanie. Les avions sont détruits devant les caméra du monde entier et les jordaniens donnent l’assaut à l’hôtel où sont détenus les otages et massacrent dans la foulée les combattants palestiniens. Ce sera « septembre noir ». Les palestiniens se replient sur le Liban, ce qui provoquera plus tard le conflit libanais. Le détournement de ces avions et leurs explosions retransmis dans tous les journaux d’informations est le premier acte de ce que nous appellerons le terrorisme d’état. Les palestiniens continueront la lutte armée en utilisant ce moyen, comme pour la prise d’otage aux jeux olympique de Munich, l’attentat d’Orly etc. Ces actions terroristes spectaculaires à seul fin de terroriser les populations ont pour but de mettre la pression sur les états gouvernants lors de négociations les obligeant à surenchérir dans la tension par l‘instauration d‘une politique sécuritaire et répressive et ainsi prolonger ce conflit larvé.
L’Union Soviétique comprend vite que cette forme de terrorisme radicale peut être un moyen de déstabiliser une nation ennemie. Ils ne se privent pas de noyauté des groupuscules d‘extrême gauche ou indépendantistes les transformant en mouvements radicales comme Bader en Allemagne, les brigades rouges en Italie, Action Directe en France, l‘IRA en Irlande ou ETA en Espagne. Les Américains quant à eux utilisent l’Arabie saoudite comme base avancée et le wahhabisme comme bras armé pour propager le terrorisme islamique dans les pays musulmans sous influence communiste, comme au Soudan, en Algérie, en Égypte et en Afghanistan. Ce terrorisme d’état sera aussi utilisé par des nations moins discrètes au regard des nations du monde dit « libre » comme la Syrie, la Libye et un peu plus tard l’Iran.
Le conflit Afghan marque un tournant dans l’histoire des conflits internationaux. La Russie pour conserver son hégémonie sur ce pays en proie à une révolution islamique décident d’envoyer des troupes d’occupation et de maintenir l’ordre de façon très brutal. Les américains utiliseront pour la première fois et à grande échelle le terrorisme, en armant, en entraimant et en finançant des troupes « djihadistes » hostiles aux Russes comme « Al quaida ». Les Russes face à cette armée fantôme, perdront cette guerre.
Ces hostilités qui ne sont rien d’autres que des guerres larvées vont perdurer jusqu’à l’effondrement du bloc soviétique. En effet, la destruction du modèle multipolaire qui assurait l’équilibre des forces dans le monde a entraîné également la destruction du système de sécurité internationale, des normes et des principes qui régissaient les relations entre États, ainsi que du rôle de l’ONU et de son Conseil de sécurité. Aujourd’hui les États-Unis d’Amérique et l’OTAN se sont arrogés le droit de décider du destin d’autres États et de soumettre les principes de la Charte des Nations Unies à leur propre législation. Ce sont précisément les pays occidentaux qui, par leurs actions et agressions contre la République fédérale de Yougoslavie et l’Irak, ainsi qu’en permettant de toute évidence l’agression israélienne contre le Liban et en menaçant la Syrie, l’Iran et d’autres pays, ont libéré une énorme énergie de résistance, de vengeance et d’extrémisme. Energie qui a renforcé le potentiel de la terreur avant de se retourner, comme un boomerang, contre l’Occident.
Le terrorisme international devient un phénomène qui consiste, pour des structures gouvernementales et, aussi, non gouvernementales, à utiliser la terreur comme moyen d’atteindre des objectifs politiques en terrorisant, déstabilisant les populations sur le plan socio psychologique, en démotivant les structures du pouvoir d’État et en créant les conditions permettant de manipuler la politique de l’État et le comportement des citoyens. Alors que pour le terroriste de base, le terrorisme se présente comme un instrument radical de résistance aux processus de mondialisation, comme un moyen de lutte de libération nationale, de séparatisme, un moyen de résoudre les conflits entre les nations et entre les religions, ainsi que comme in instrument de lutte économique et politique.
Si le terrorisme est un moyen de faire la guerre de manière différente, non conventionnelle. Pratiquement chaque acte terroriste est instrumentalisé pas des forces politiques puissantes, des entreprises transnationales ou des structures criminelles ayant des objectifs précis. Et presque tous les actes terroristes sont en réalité des provocations. Au sein d’un groupuscule terroriste, un état manipulateur n’est jamais très loin!
L’analyse de la substance des processus de mondialisation, ainsi que des doctrines politiques et militaires des États-Unis d’Amérique et d’autres États, qui par son cynisme et son nihilisme, crée des conditions favorables à ces phénomènes extrêmement dangereux, permet de se convaincre que le terrorisme favorise la réalisation des objectifs de domination du monde et la soumission des États aux intérêts de l’oligarchie mondiale. Cela signifie que le terrorisme ne constitue pas un sujet en tant que tel de la politique mondiale mais un simple instrument, le moyen d’instaurer un nouvel ordre unipolaire ayant un centre de commandement mondial unique, d’effacer les frontières nationales et d’assurer la domination d’une nouvelle élite mondiale. C’est elle qui s’efforce de diriger le terrorisme contre d’autres États. La principale cible de cette nouvelle élite mondiale étant la réalité naturelle, traditionnelle, historique et culturelle des nations qui a jeté les bases du système de relations entre les États, de l’organisation de la civilisation humaine en États nationaux. Cette cible est tout bonnement l’identité nationale.
En Afghanistan, en Asie centrale et en Amérique du sud nous constatons que la terreur sert aussi à protéger des narcotrafiquants en déstabilisant leurs zones de passage. On peut constater que dans un contexte de crise systémique mondiale la terreur est devenue une sorte de culture de la mort, la culture de notre quotidien. Elle favorise l’accoutumance de la communauté internationale à des ingérences violentes et illégales dans les affaires intérieures des États et à la destruction du système de sécurité internationale.
La terreur engendre le culte de la force et lui soumet la politique, le comportement des gouvernements et de la population. Le plus effrayant est que le terrorisme a un grand avenir en raison de la nouvelle spirale de guerre qui s’annonce pour la redistribution des ressources mondiales et pour le contrôle des zones clé de la planète.
Dans la stratégie de sécurité nationale des États-Unis d’Amérique, l’objectif avoué de la politique de Washington est « de s’assurer l’accès aux régions clé du monde, aux communications stratégiques et aux ressources mondiales », avec comme moyen pour y parvenir de procéder à des frappes préventives contre n’importe quel pays. Du point de vue du Congrès, les États-Unis d’Amérique peuvent donc adopter une doctrine de frappes nucléaires préventives qui s’apparente à du terrorisme nucléaire.
Cela implique l’utilisation à grande échelle de substances nocives et d’armes de destruction massive. On ne s’embarrassera pas de scrupules pour choisir les moyens de répondre à une attaque.
Simultanément, le terrorisme, allié aux médias, se comporte comme un système de contrôle des processus mondiaux. C’est précisément la symbiose des médias et de la terreur qui crée les conditions favorables à des bouleversements dans la politique mondiale et dans la réalité existante.
Si l’on examine dans ce contexte les événements du 11 septembre 2001 aux États-Unis d’Amérique, on peut en tirer les conclusions suivantes :
- L’attentat terroriste contre les tours jumelles du World Trade Center a modifié le cours de l’histoire du monde en détruisant définitivement l’ordre mondial issu des accords de Yalta.
- Il a délié les mains des États-Unis d’Amérique, de la Grande-Bretagne et d’Israël, leur permettant de mener des actions contre d’autres pays en faisant fi des règles de l’ONU et des accords internationaux ;
il a stimulé l’amplification du terrorisme international.
- Il a entraîné un redécoupage de la carte géopolitique du monde et une redistribution des ressources planétaires.
- Il a violé la souveraineté et a effacé les frontières des États, démantèlé le droit international, anéantit la diversité culturelle et appauvrit la vie spirituelle et morale.
Les événements du 11 septembre 2001 constituent une provocation mondiale identique à ces provocations terroristes qui ont servi de prétextes au déclenchement des deux guerres mondiales. On peut parler d’opération d’ampleur mondiale. De telles opérations permettent en général de résoudre plusieurs problèmes mondiaux à la fois. On peut les définir comme suit :
1. L’oligarchie financière mondiale et les États-Unis d’Amérique ont obtenu le droit non formel de recourir à la force contre n’importe quel État.
2. Le rôle du Conseil de sécurité s’est trouvé dévalué. Au yeux des pays émergeants, il fait de plus en plus figure d’organisation criminelle complice et alliée à la nouvelle tyrannie mondiale.
3. Grâce à la provocation du 11 septembre, les États-Unis d’Amérique ont consolidé leur monopole mondial et ont obtenu l’accès à n’importe quelle région du monde et à ses ressources.
Dans le déroulement d’une tel opération, il y a toujours trois éléments obligatoires : le commanditaire, l’organisateur et l’exécutant. En ce qui concerne la provocation du 11 septembre et contrairement à l’opinion dominante, « Al-Qaida » ne pouvait être ni le commanditaire, ni l’organisateur, ne disposant pas des moyens financiers suffisants (et ils sont pourtant énormes) pour commander une action d’une telle ampleur.
Jusqu’à présent, toutes les opérations menées par cette organisation ne sont que des actions locales assez primitives. Elle ne dispose pas des ressources humaines, d’un réseau d’agents suffisamment développé sur le territoire des États-Unis d’Amérique, pour réussir à pénétrer les dizaines de structures publiques et privées qui assurent le fonctionnement des transports aériens et veillent à sa sécurité. Al-Qaida ne saurait donc avoir été l’organisateur de cette opération (sinon à quoi peuvent bien servir le FBI et la CIA ?). Ces gens pourraient en revanche fort bien avoir été de simples exécutants de cet acte terroriste.
À mon avis, le commanditaire de cette provocation pourrait avoir été l’oligarchie financière mondiale, dans le but d’installer une fois pour toutes « la dictature fasciste mondiale des banques » (l’expression appartient à l’économiste Lyndon LaRouche) et d’assurer le contrôle de ressources mondiales en hydrocarbures limitées. Il se serait agi par la même de s’assurer la domination mondiale pour longtemps.
L’invasion de l’Afghanistan, riche en ressources gazières, de l’Irak et peut-être aussi de l’Iran, qui possèdent des réserves mondiales de pétrole, mais aussi l’instauration d’un contrôle militaire sur les communications pétrolières stratégiques et l’augmentation radicale du prix du pétrole sont des conséquences des événements du 11 septembre 2001.
L’organisateur de l’opération pourrait avoir été un consortium bien organisé et abondamment financé formé de représentants anciens et actuels des différents services secrets, et bien sur de militaires de hauts rangs.
La couverture médiatique et juridique a été assurée par des organes de presse, des juristes et des politiciens stipendiés. Les exécutants ont été choisis sur la base de leur appartenance ethnique à la région qui possède les ressources naturelles d’importance mondiale.
L’opération a réussi, les objectifs sont atteints !
L’expression « terrorisme international » en tant que principale menace pour l’humanité a fait irruption dans le quotidien politique et social. Cette menace a été identifiée en la personne d’un islamiste, ressortissant d’un pays disposant d’énormes ressources en hydrocarbures.
Le système international mis sur pied à l’époque où le monde était bipolaire a été détruit et les notions d’agression, de terrorisme d’État et de droit à la défense ont été altérées.
Le droit des peuples de résister aux agressions et aux activités subversives des services secrets étrangers ainsi que de défendre leurs intérêts nationaux est foulé aux pieds.
Toutes les garanties sont assurées en revanche aux forces qui cherchent à instaurer une dictature mondiale et à dominer le monde. Mais la guerre mondiale qui se manifeste dans la lutte sans merci pour les ressources naturelles, dans les efforts déployés par les grandes puissances du monde, mais aussi par des entreprises multinationales pour soumettre à leurs intérêts les systèmes économiques d’autres États et prendre le contrôle des ressources de la planète, n’est pas encore finie. Elle a été provoquée le 11 septembre 2001 et elle n’est que le prélude à de grands événements à venir.
Cette crise systémique de la civilisation humaine se manifeste de manière particulièrement aiguë au niveau de l’interprétation philosophique de la vie. L’absence de nouvelles idées philosophiques, la crise morale et spirituelle, la déformation de la perception du monde, la diffusion de phénomènes amoraux contraires à la tradition, la course à l’enrichissement illimité et au pouvoir, la cruauté, conduisent l’humanité à la décadence et peut-être à la catastrophe.
C’est mon regard sur ce qui c’est passé et parce que je suis optimiste j’espère être contredit.
Par ce qui va suivre je tente d’expliquer pourquoi cet attentat qui a, par son importance, bouleversé l’ordre établi ne peux pas être l’œuvre d’un groupuscule terroriste comme Al Qaida.
Avant la deuxième guerre mondiale, dans un pays en paix ou non occupé par un envahisseur, on ne parlait pas de terrorisme. Le mot terrorisme était rarement voir jamais employé. On lui préférait l’expression « assassinat politiques ». A cette époque un attentat ou un assassinat perpétré par des mouvements anarchiques avait forcément une explication politique. Même si des fois il provoquait des conflits majeurs, comme l’assassinat de François Ferdinand à Sarajevo, il n’avait pas pour but d’engendrer la terreur auprès des populations. Les attentats des nihilistes ou des anarchistes visaient des personnalités de la sphère politique ou ayant participé à la répression contre la population ou leurs camarades. L'idée étant qu'une fois supprimés les acteurs de cette répression, celle-ci s'estomperait dû à la peur de représailles contre les acteurs de cette politique répressive. Ce terrorisme avait un caractère spontané, et une base sociale.
L’explication à cela est qu’avant la deuxième guerre mondiale, le monde n’était pas scindé en deux blocs antagonistes. Si la politique indépendante et souveraine des différents pays faisait la part belle à l’individualisme politique, le clivage entre deux régimes sociaux où le regroupement des différents pays a surpassé les simples alliances de confort d’autant pour engendrer une radicalisation des mouvements politiques. Même si pour certain, la démarcation entre ces deux mondes différents pouvait apparaître comme une assurance contre un nouveau conflit mondial, l’aggravation des contradictions, la dégradation constantes des relations internationale du à un changement de l’ordre social et à l’instabilité tant politique qu’économique notamment dans certains pays du tiers monde ont libéré un potentiel d’agressivité certes pas suffisant pour déclencher une guerre planétaire mais suffisamment important pour générer des conflits localisés. Les plus importants étant le conflit du Vietnam et celui du moyen orient.
Nous sommes dans les années 70 les russes et les américains ont compris, depuis la crise des missiles à Cuba, que le déclenchement d’une guerre les conduira inévitablement à un cataclysme planétaire. Ils entretiennent des relations exécrables sans jamais cesser de se combattre par l’intermédiaire d’état interposé. Nous sommes en pleine guerre du Vietnam qui si tôt fini se transportera en Angola. Dans ce délitement des relations internationales, le terrorisme devient un moyen d’action spectaculaire dans les pays non encore en conflit.
Les palestiniens en désaccord avec le roi Hussein de Jordanie détournent 4 avions et en font atterrir 3 sur une base aérienne en Jordanie. Les avions sont détruits devant les caméra du monde entier et les jordaniens donnent l’assaut à l’hôtel où sont détenus les otages et massacrent dans la foulée les combattants palestiniens. Ce sera « septembre noir ». Les palestiniens se replient sur le Liban, ce qui provoquera plus tard le conflit libanais. Le détournement de ces avions et leurs explosions retransmis dans tous les journaux d’informations est le premier acte de ce que nous appellerons le terrorisme d’état. Les palestiniens continueront la lutte armée en utilisant ce moyen, comme pour la prise d’otage aux jeux olympique de Munich, l’attentat d’Orly etc. Ces actions terroristes spectaculaires à seul fin de terroriser les populations ont pour but de mettre la pression sur les états gouvernants lors de négociations les obligeant à surenchérir dans la tension par l‘instauration d‘une politique sécuritaire et répressive et ainsi prolonger ce conflit larvé.
L’Union Soviétique comprend vite que cette forme de terrorisme radicale peut être un moyen de déstabiliser une nation ennemie. Ils ne se privent pas de noyauté des groupuscules d‘extrême gauche ou indépendantistes les transformant en mouvements radicales comme Bader en Allemagne, les brigades rouges en Italie, Action Directe en France, l‘IRA en Irlande ou ETA en Espagne. Les Américains quant à eux utilisent l’Arabie saoudite comme base avancée et le wahhabisme comme bras armé pour propager le terrorisme islamique dans les pays musulmans sous influence communiste, comme au Soudan, en Algérie, en Égypte et en Afghanistan. Ce terrorisme d’état sera aussi utilisé par des nations moins discrètes au regard des nations du monde dit « libre » comme la Syrie, la Libye et un peu plus tard l’Iran.
Le conflit Afghan marque un tournant dans l’histoire des conflits internationaux. La Russie pour conserver son hégémonie sur ce pays en proie à une révolution islamique décident d’envoyer des troupes d’occupation et de maintenir l’ordre de façon très brutal. Les américains utiliseront pour la première fois et à grande échelle le terrorisme, en armant, en entraimant et en finançant des troupes « djihadistes » hostiles aux Russes comme « Al quaida ». Les Russes face à cette armée fantôme, perdront cette guerre.
Ces hostilités qui ne sont rien d’autres que des guerres larvées vont perdurer jusqu’à l’effondrement du bloc soviétique. En effet, la destruction du modèle multipolaire qui assurait l’équilibre des forces dans le monde a entraîné également la destruction du système de sécurité internationale, des normes et des principes qui régissaient les relations entre États, ainsi que du rôle de l’ONU et de son Conseil de sécurité. Aujourd’hui les États-Unis d’Amérique et l’OTAN se sont arrogés le droit de décider du destin d’autres États et de soumettre les principes de la Charte des Nations Unies à leur propre législation. Ce sont précisément les pays occidentaux qui, par leurs actions et agressions contre la République fédérale de Yougoslavie et l’Irak, ainsi qu’en permettant de toute évidence l’agression israélienne contre le Liban et en menaçant la Syrie, l’Iran et d’autres pays, ont libéré une énorme énergie de résistance, de vengeance et d’extrémisme. Energie qui a renforcé le potentiel de la terreur avant de se retourner, comme un boomerang, contre l’Occident.
Le terrorisme international devient un phénomène qui consiste, pour des structures gouvernementales et, aussi, non gouvernementales, à utiliser la terreur comme moyen d’atteindre des objectifs politiques en terrorisant, déstabilisant les populations sur le plan socio psychologique, en démotivant les structures du pouvoir d’État et en créant les conditions permettant de manipuler la politique de l’État et le comportement des citoyens. Alors que pour le terroriste de base, le terrorisme se présente comme un instrument radical de résistance aux processus de mondialisation, comme un moyen de lutte de libération nationale, de séparatisme, un moyen de résoudre les conflits entre les nations et entre les religions, ainsi que comme in instrument de lutte économique et politique.
Si le terrorisme est un moyen de faire la guerre de manière différente, non conventionnelle. Pratiquement chaque acte terroriste est instrumentalisé pas des forces politiques puissantes, des entreprises transnationales ou des structures criminelles ayant des objectifs précis. Et presque tous les actes terroristes sont en réalité des provocations. Au sein d’un groupuscule terroriste, un état manipulateur n’est jamais très loin!
L’analyse de la substance des processus de mondialisation, ainsi que des doctrines politiques et militaires des États-Unis d’Amérique et d’autres États, qui par son cynisme et son nihilisme, crée des conditions favorables à ces phénomènes extrêmement dangereux, permet de se convaincre que le terrorisme favorise la réalisation des objectifs de domination du monde et la soumission des États aux intérêts de l’oligarchie mondiale. Cela signifie que le terrorisme ne constitue pas un sujet en tant que tel de la politique mondiale mais un simple instrument, le moyen d’instaurer un nouvel ordre unipolaire ayant un centre de commandement mondial unique, d’effacer les frontières nationales et d’assurer la domination d’une nouvelle élite mondiale. C’est elle qui s’efforce de diriger le terrorisme contre d’autres États. La principale cible de cette nouvelle élite mondiale étant la réalité naturelle, traditionnelle, historique et culturelle des nations qui a jeté les bases du système de relations entre les États, de l’organisation de la civilisation humaine en États nationaux. Cette cible est tout bonnement l’identité nationale.
En Afghanistan, en Asie centrale et en Amérique du sud nous constatons que la terreur sert aussi à protéger des narcotrafiquants en déstabilisant leurs zones de passage. On peut constater que dans un contexte de crise systémique mondiale la terreur est devenue une sorte de culture de la mort, la culture de notre quotidien. Elle favorise l’accoutumance de la communauté internationale à des ingérences violentes et illégales dans les affaires intérieures des États et à la destruction du système de sécurité internationale.
La terreur engendre le culte de la force et lui soumet la politique, le comportement des gouvernements et de la population. Le plus effrayant est que le terrorisme a un grand avenir en raison de la nouvelle spirale de guerre qui s’annonce pour la redistribution des ressources mondiales et pour le contrôle des zones clé de la planète.
Dans la stratégie de sécurité nationale des États-Unis d’Amérique, l’objectif avoué de la politique de Washington est « de s’assurer l’accès aux régions clé du monde, aux communications stratégiques et aux ressources mondiales », avec comme moyen pour y parvenir de procéder à des frappes préventives contre n’importe quel pays. Du point de vue du Congrès, les États-Unis d’Amérique peuvent donc adopter une doctrine de frappes nucléaires préventives qui s’apparente à du terrorisme nucléaire.
Cela implique l’utilisation à grande échelle de substances nocives et d’armes de destruction massive. On ne s’embarrassera pas de scrupules pour choisir les moyens de répondre à une attaque.
Simultanément, le terrorisme, allié aux médias, se comporte comme un système de contrôle des processus mondiaux. C’est précisément la symbiose des médias et de la terreur qui crée les conditions favorables à des bouleversements dans la politique mondiale et dans la réalité existante.
Si l’on examine dans ce contexte les événements du 11 septembre 2001 aux États-Unis d’Amérique, on peut en tirer les conclusions suivantes :
- L’attentat terroriste contre les tours jumelles du World Trade Center a modifié le cours de l’histoire du monde en détruisant définitivement l’ordre mondial issu des accords de Yalta.
- Il a délié les mains des États-Unis d’Amérique, de la Grande-Bretagne et d’Israël, leur permettant de mener des actions contre d’autres pays en faisant fi des règles de l’ONU et des accords internationaux ;
il a stimulé l’amplification du terrorisme international.
- Il a entraîné un redécoupage de la carte géopolitique du monde et une redistribution des ressources planétaires.
- Il a violé la souveraineté et a effacé les frontières des États, démantèlé le droit international, anéantit la diversité culturelle et appauvrit la vie spirituelle et morale.
Les événements du 11 septembre 2001 constituent une provocation mondiale identique à ces provocations terroristes qui ont servi de prétextes au déclenchement des deux guerres mondiales. On peut parler d’opération d’ampleur mondiale. De telles opérations permettent en général de résoudre plusieurs problèmes mondiaux à la fois. On peut les définir comme suit :
1. L’oligarchie financière mondiale et les États-Unis d’Amérique ont obtenu le droit non formel de recourir à la force contre n’importe quel État.
2. Le rôle du Conseil de sécurité s’est trouvé dévalué. Au yeux des pays émergeants, il fait de plus en plus figure d’organisation criminelle complice et alliée à la nouvelle tyrannie mondiale.
3. Grâce à la provocation du 11 septembre, les États-Unis d’Amérique ont consolidé leur monopole mondial et ont obtenu l’accès à n’importe quelle région du monde et à ses ressources.
Dans le déroulement d’une tel opération, il y a toujours trois éléments obligatoires : le commanditaire, l’organisateur et l’exécutant. En ce qui concerne la provocation du 11 septembre et contrairement à l’opinion dominante, « Al-Qaida » ne pouvait être ni le commanditaire, ni l’organisateur, ne disposant pas des moyens financiers suffisants (et ils sont pourtant énormes) pour commander une action d’une telle ampleur.
Jusqu’à présent, toutes les opérations menées par cette organisation ne sont que des actions locales assez primitives. Elle ne dispose pas des ressources humaines, d’un réseau d’agents suffisamment développé sur le territoire des États-Unis d’Amérique, pour réussir à pénétrer les dizaines de structures publiques et privées qui assurent le fonctionnement des transports aériens et veillent à sa sécurité. Al-Qaida ne saurait donc avoir été l’organisateur de cette opération (sinon à quoi peuvent bien servir le FBI et la CIA ?). Ces gens pourraient en revanche fort bien avoir été de simples exécutants de cet acte terroriste.
À mon avis, le commanditaire de cette provocation pourrait avoir été l’oligarchie financière mondiale, dans le but d’installer une fois pour toutes « la dictature fasciste mondiale des banques » (l’expression appartient à l’économiste Lyndon LaRouche) et d’assurer le contrôle de ressources mondiales en hydrocarbures limitées. Il se serait agi par la même de s’assurer la domination mondiale pour longtemps.
L’invasion de l’Afghanistan, riche en ressources gazières, de l’Irak et peut-être aussi de l’Iran, qui possèdent des réserves mondiales de pétrole, mais aussi l’instauration d’un contrôle militaire sur les communications pétrolières stratégiques et l’augmentation radicale du prix du pétrole sont des conséquences des événements du 11 septembre 2001.
L’organisateur de l’opération pourrait avoir été un consortium bien organisé et abondamment financé formé de représentants anciens et actuels des différents services secrets, et bien sur de militaires de hauts rangs.
La couverture médiatique et juridique a été assurée par des organes de presse, des juristes et des politiciens stipendiés. Les exécutants ont été choisis sur la base de leur appartenance ethnique à la région qui possède les ressources naturelles d’importance mondiale.
L’opération a réussi, les objectifs sont atteints !
L’expression « terrorisme international » en tant que principale menace pour l’humanité a fait irruption dans le quotidien politique et social. Cette menace a été identifiée en la personne d’un islamiste, ressortissant d’un pays disposant d’énormes ressources en hydrocarbures.
Le système international mis sur pied à l’époque où le monde était bipolaire a été détruit et les notions d’agression, de terrorisme d’État et de droit à la défense ont été altérées.
Le droit des peuples de résister aux agressions et aux activités subversives des services secrets étrangers ainsi que de défendre leurs intérêts nationaux est foulé aux pieds.
Toutes les garanties sont assurées en revanche aux forces qui cherchent à instaurer une dictature mondiale et à dominer le monde. Mais la guerre mondiale qui se manifeste dans la lutte sans merci pour les ressources naturelles, dans les efforts déployés par les grandes puissances du monde, mais aussi par des entreprises multinationales pour soumettre à leurs intérêts les systèmes économiques d’autres États et prendre le contrôle des ressources de la planète, n’est pas encore finie. Elle a été provoquée le 11 septembre 2001 et elle n’est que le prélude à de grands événements à venir.
Cette crise systémique de la civilisation humaine se manifeste de manière particulièrement aiguë au niveau de l’interprétation philosophique de la vie. L’absence de nouvelles idées philosophiques, la crise morale et spirituelle, la déformation de la perception du monde, la diffusion de phénomènes amoraux contraires à la tradition, la course à l’enrichissement illimité et au pouvoir, la cruauté, conduisent l’humanité à la décadence et peut-être à la catastrophe.
C’est mon regard sur ce qui c’est passé et parce que je suis optimiste j’espère être contredit.
"calme dans la victoire et gracieux dans la défaite" Benjo
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désolé trelawney, mais ton texte ressemblait trop a du plagiat.
http://www.voltairenet.org/article159301.html
même si tu penses pareil que l'auteur, le citer, en t'appropriant le texte, tu aides pas le débat....
si vraiment tu le comprends, donnes la source......
http://www.voltairenet.org/article159301.html
même si tu penses pareil que l'auteur, le citer, en t'appropriant le texte, tu aides pas le débat....
si vraiment tu le comprends, donnes la source......
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duvel a écrit :désolé trelawney, mais ton texte ressemblait trop a du plagiat.
http://www.voltairenet.org/article159301.html
même si tu penses pareil que l'auteur, le citer, en t'appropriant le texte, tu aides pas le débat....
si vraiment tu le comprends, donnes la source......
euh, + 1 Trel
t'aurais pu citer l'auteur de cette analyse intéressante.
Mojito spirit
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backtattoo a écrit :bla.réponse demain posée et argumenté
Bon j'ai été un poil agressif dans mon dernier message. Je m'en excuse Criss. C'était juste pour que tu comprennes que l'état dans lequel tu devais être quand tu as lut mon message c'était à peut près le même que le mien quand je l'ai écris.
Je me répète mais tous part d'un message de ma part que tu n'as pas compris. Je t'en ai fait par et Doogan lui aussi est intervenu une fois pour essayé de te le faire comprendre.
Quand je dis que comparer simulation 3D et simulateur 3D n'est pas la même chose je ne porte pas de jugement sur l'argumentaire, juste sur la forme. C'était le but initial de ma remarque. Car si on commence à faire des amalgames on dérivera vers un débat pas plus argumenté que celui des émission de TV française.
De même quand je parle de savoir comment un projectile a pu faire un trou 6 mur plus loin" dans le crash du pentagone, c'était surtout pour dire que l'argumentaire développé dans l'émission dont tu parlais n'étais pas à mon sens très intéressant.
Alors comment de la en somme nous arrivé à nous ennerver? Peut être que j'aurais du ne pas faire monté la sauce mais comme Doogan l'a dit, peut être aussi es tu trop imprégné de tes idées et que cela altère ta perception de mes interventions. Comme je l'ai dis, ton argumentaire je le connais depuis 30 pages, je ne cherche plus à vouloir montré que tu as tord.Je me contente plus de recadrer les incohérence comme le fait de faire amalgame entre simulateur et simulation, considéré les théorie de Jones scientifiquement correct etc...
C'est lorsque nous croyons savoir quelque chose qu'il faut justement réfléchir un peu plus profondément.
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[quote="duvel"]je pense qu'on a le droit de douter, sans être attaqué en permanence.
on a le droit de douter, sans pour autant être traité de négationnistes. D'ailleurs ce terme m'horripile![/quote]
Le seul soucis c'est que sur cette discussion, contrairement aux émission TV c'est plus le fait de croire en la thèse officiel qui occasionne des attaques en permanence voir les attaques sont réparti des deux côté.
Et que je sache jamais personne n'a parlé de négationnisme ici...
Donc bon peut être aussi que victimiser son discours amène aussi cette état de tension. J'ai quand même mine de rien était traité plusieurs fois de menteur, plusieurs fois d'imbécile de façon détourné alors qu'a vous entendre vous êtes persécuté, victime de tension quand vous souhaitez intervenir.
on a le droit de douter, sans pour autant être traité de négationnistes. D'ailleurs ce terme m'horripile![/quote]
Le seul soucis c'est que sur cette discussion, contrairement aux émission TV c'est plus le fait de croire en la thèse officiel qui occasionne des attaques en permanence voir les attaques sont réparti des deux côté.
Et que je sache jamais personne n'a parlé de négationnisme ici...
Donc bon peut être aussi que victimiser son discours amène aussi cette état de tension. J'ai quand même mine de rien était traité plusieurs fois de menteur, plusieurs fois d'imbécile de façon détourné alors qu'a vous entendre vous êtes persécuté, victime de tension quand vous souhaitez intervenir.
C'est lorsque nous croyons savoir quelque chose qu'il faut justement réfléchir un peu plus profondément.
backtattoo a écrit :t'aurais pu citer l'auteur de cette analyse intéressante.
un peu borderline l'auteur quand même
http://fr.wikipedia.org/wiki/Leonid_Ivachov
Il considère que le "terrorisme international" n'existe pas. Forcément ça plait à Meyssan.
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Doogan a écrit :backtattoo a écrit :t'aurais pu citer l'auteur de cette analyse intéressante.
un peu borderline l'auteur quand même
http://fr.wikipedia.org/wiki/Leonid_Ivachov
Il considère que le "terrorisme international" n'existe pas. Forcément ça plait à Meyssan.
Clair qu'il va loin parfois, pas d'accord sur tout, mais des passages interessants je trouve.
Mojito spirit
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epsimax a écrit :duvel a écrit :je pense qu'on a le droit de douter, sans être attaqué en permanence.
on a le droit de douter, sans pour autant être traité de négationnistes. D'ailleurs ce terme m'horripile!
Le seul soucis c'est que sur cette discussion, contrairement aux émission TV c'est plus le fait de croire en la thèse officiel qui occasionne des attaques en permanence voir les attaques sont réparti des deux côté.
Et que je sache jamais personne n'a parlé de négationnisme ici...
Donc bon peut être aussi que victimiser son discours amène aussi cette état de tension. J'ai quand même mine de rien était traité plusieurs fois de menteur, plusieurs fois d'imbécile de façon détourné alors qu'a vous entendre vous êtes persécuté, victime de tension quand vous souhaitez intervenir.
Régis, il est temps je pense de dépassionner un peu le débat.
Et pourtant, c'est pour moi ce qui met le sel a ces discussions enflammées.
Sans passion, pas de débats de ce type, vouloir convaincre (et non manipuler), étayer ses arguments (et non désinformer), c'est ça qui fait le débat!!
Encore une fois (et je l'ai déjà dit dans plusieurs posts) il n'y pour moi aucune attaque de personnes sur ce topic!! Il n'y a que défenses de ces idées, attaques des idées d'autrui, mais rien de plus!!
Je me suis d'ailleurs, souvent excusé quand je trouvais que je réagissais un peu trop à chaud!!
Donc Régis, ne te sent pas attaqué, pas ta personne, car ce n'est pas le cas! Clair que je m'oppose fortement parfois à ta rhétorique, clair que je pense parfois que tu exagère, mais je pense que tu en as autant envers mes idées.
Donc, soyons sur de la différence, attaque des idées oui, des personnes non!
Ces débats enflammés sont propices aux réaction à chaud, qui il faut l'avouer ne sont parfois pas pertinente dans leur forme.
C'est dommage, dans les deux camps.
Il est vrai ainsi qu'il n'y a pas d'écrit direct sur un avion en piqué de ta part. Je m'en excuse. réaction a chaud.
Mais c'est la que tes réponses n'avaient pour moi pas de sens : dans un post tu dis
"Il est ou le problème de savoir ce qui a causé ce trou nécessitant de traverser 6 murs"
mètres"
Je me répète mais c'est capitale!!! Prouve moi que c'est un 757, et je croie la thèse officielle.
Je te répond cela, et que scientifiquement par les lois de l'aéronautique, un 757 dont la vitesse maximale est de 850 km h à 10000 mètres d'altitudes, ne peut pas voler à cette vitesse, au niveau de la mer, et encore moins à 6 mètres du sol.
Tu me réponds : "La vitesse max dans de tel circonstance doivent être plus proche des 850 que des 900 km/h. Et je ne vois absolument pas quel loi physique de l'aéronautique invalide cela. Pour info j'ai déjà vu au bourget un A340 volet sur toute la longueur d'une piste à cette hauteur sans que ça ne pause de problème. L'avion est en train de se crasher contre un bâtiment c'est quoi ton délire? Que c'est difficile de voler à cette hauteur avec un 757?"
- tu chipotes pour 50 km h (alors que je répondais à Pierre qui parlait de
(1er cou d'énervement)
- Les lois aérodynamiques sur la portance des ailes, sur la résistance de l'air font que 757 ne peut voler à 850 à l'heure à 10 mètres du sol!! Je te donne un lien pourtant scientifique. (2 ème petit coup d'énervement)
- Tu s vu voler un A340 à 6 mètres du sol. Là je te croie.
A 850 km h? (en rapport à la vitesse de percutions de l'avion dans le pentagone et dans un angles horizontale) Je dis que là ce n'est pas possible!!
Les deux paramètres ne sont pas possible : un A340 volant à 850 km h à 6 mètres du sol. (3 ème énervement)
- Après bah phrase ou tu me prends pour un con : "c'est quoi ton délire" Pas de délire, juste des faits scientifique. Impossible pour un 757 de voler a cette hauteur? non, c'est possible, mais pas à 850kmh!! (4 ème énervement).
Voila ce qui peu expliqué parfois le ton incisif, ironique, énervée.
Ton employé parfois de votre coté également, delà dérision, des cons qui n'y comprennent rein, ou n'ont pas de scientifiques rigoureux au passage, ces mecs sont tous des branleurs alors :
tp://www.physics911.net/index
http://stj911.org/
http://pilotsfor911truth.org/
http://www.ae911truth.org/
Pourtant, il faut rappeler que près de la moitié des membres de la commission ont démissionnés dont le président et co président car l'enquète manquait de riguer et beaucoup d'inexactitude..
Là, je ne comprend pas que tu valides une thèse qui manque de rigueur, et que les scientifiques que je te donne en lien ne te conviennent pas non plus car semi scientifiques qui manquent de rigueur....
Enfin, tout ceci pour dire, qu'il n'y a pas d'attaques personnelles. Je le répète, on se bat contre des idées, pas des personnes.
Les réactions épidermiques sont normales et compréhensibles.
Donc cool à tous, on boira une bière, on se retrouvera à une tale sans s'agresser, pas de souci.
Je reformule un petit merci à tous les participants et remercier les massages de soutiens et de calme pour ne pas répondre trop à chaud quand la dérision et parfois le mépris de mes adversairess me faisais sortir de mes gongs (joke inside
Chriss
Mojito spirit
backtattoo a écrit : Prouve moi que c'est un 757, et je croie la thèse officielle.
- les passagers de l'avion retrouvés dans le bâtiment (analyse ADN, preuve DIRECTE)
- les pièces de l'appareil (cf photos, preuve DIRECTE)
- les lampadaires tombés (ce qui prouve que c'était un avion de l'envergure d'un 757, preuve INDIRECTE)
- le générateur percuté juste avant la façade (cf photos, preuve INDIRECTE car impossible pour un missile)
- les témoins de l'autoroute
et j'en passe ...
On a pas de vidéos, et alors ? On s'en fout. On a déjà celle des twins towers où on voit CLAIREMENT des avions. Pourquoi se seraient-ils emmerdés à envoyer autre chose qu'un avion sur le pentagone ? ça n'aurait aucun sens.
ça ne te suffit pas comme preuves ?
si ce ne sont pas de preuves pour toi c'est quoi alors ? une vaste manipulation, un complot de l'état américain ? alors prouve le.
Tu sembles nier qu'il y a eu des victimes car tu ne crois pas que c'était l'avion piraté qui a percuté le pentagone. En tout cas tu fais tout pour nous faire croire le contraire.
En plus tu postes toujours les mêmes liens. Je regarde le 1er (phycics911). Qu'y trouve-t-on comme référence ? Steven Jones, David Ray Griffin, nos joyeux intégristes chrétiens habituels et leur cortège de croyances à dormir debout.
Et personnellement j'attends toujours ton intime conviction sur l'ensemble des événements, que tu nous promets de livrer depuis quelques jours. Que cherches-tu à prouver ??
PS : je n'attaque pas personnellement mais j'appuie où ça fait mal.
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